Auteur(s):
lorent ou laurent, jean-françois (bruxelles, en 1773), dessinateur
jacowick, g. , graveur
chateigner, editeur
autres titres:
robespierre dans l'anti-salle du comité de salut-public (titre inscrit (lettre)), juillet 1794: de la bravoure à la guadeloupe à l'exécution de robespierre. (titre de la série)
date de production: vers 1794 — 1804
type(s) d'objet(s): estampe, arts graphiques, révolution française
dénomination(s): estampe
dimensions - oeuvre:
hauteur: 8. 4 cm
largeur: 12. 2 cm
dimensions - montage ancien:
hauteur: 21 cm
largeur: 14 cm
dimensions - montage:
hauteur: 50 cm
largeur: 32. 5 cm
description:
gravure 121 de la planche nº8 du receuil "la galerie historique ou tableaux des evènements de la révolution française" (1795-1799). Série de 8 planches, ed. Châteigner, bruxelles. Les 6 premières ont 16 médaillons, les autres 14 (cf. Bruel); oeuvre fixée sur un carton contrecollé sur un montage. Marques, inscriptions, poinçons:
numéro d'inventaire - au recto du médaillon, en bas à droite, numéro au crayon: "g. 29028" \ inscription au crayon
tampon - au recto du médaillon en bas au centre, tampon ovale à l'encre bleue: "musee / carnavalet" (cf. Lugt suppl. 432c) \ inscription à l'encre
lettre - au recto du cartel découpé, inscription imprimée: "10. Dito. (28. Dito;). Robespierre dans l'anti-chambre du comite de salut-public. Quelle leçon, quel exemple, que robespierre / couché sur une table de l'anti-salle du comité où naguères il dictoit / des lois, et prêt à voir l'echaffaud devenir le trône de sa domination. " \ impression
description iconographique:
robespierre arrêté et blessé, allongé dans l'antichambre du comité de salut public. Tuileries. Révolution française. Histoire. Estrade, garde nationale, sans-culotte, député, livre, plume à écrire, arme, fusil à baïonette, chaise, chien
commentaire historique:
lors de la séance du 27 juillet à la convention, robespierre et ses partisans sont décrétés d'accusation et arrêtés par les thermidoriens. Libérés par la commune ils se réfugient à l'hôtel-de-ville et sont arrêtés le lendemain matin par les troupes envoyées par la convention. C'est à ce moment que situe l'épisode du coup de feu tiré par le gendarme merda sur robespierre, version la plus souvent illustrée. L'autre version est celle du suicide. Le soir même il est guillotiné avec ses partisans, sans jugement. Le numéro de la gravure a été effacé. Mode d'acquisition: mode d'acquisition inconnu
institution: musée carnavalet, histoire de paris
numéro d’inventaire: g. 29028. Date: Vers 1794 — 1804.
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